Guzzi passion

Zouzou a écrit : 02 juin 2025, 22:08 Sur la Superduke je ne sais pas.
J’aurai du préciser 1290 SAS KTM, désolé, j’ai roulé 12 ans et plus de 58000 km, avec 3 KTM dont la dernière une 1290 SAS 2021 que j’ai revendu pour acheter ma Stelvio.
J’ai des amis qui ont encore des 1290 SAS.

Ton "sont réputées" laissent à penser que ce ne sont que des oui-dire.
Et là, on parle de brûlures avec, pour certains apparitions de cloques.
Je sais pertinemment, que chacun à sa propre sensibilité concernant le ressenti du chaud, du froid, de la douleur, etc , mais quand même ...
Le moteur de la Superduke et de la Superadventure est exactement le même, le LC8, avec juste une cartographie adaptée à chacune.
Tes potes, ils continuent à rouler ? Sans protections particulières pour éviter les brûlures ?
Si oui, ce ne sont donc pas des motos qui chauffent de façon plus insupportable que les autres pour une utilisation normale, n'est-ce pas ?
Et le nombre de KTM tous modèles confondus, que j'ai croisé dans les Pyrénées pendant les 4 jours de l'Ascension me confortent dans mon idée.
Par contre, ma femme a été obligée de fabriquer un pare-chaleur (cuir/alu/matière isolante) à poser côté droit contre le carter des courroies de distribution de son Monster 937,
pour éviter les brûlures à l'intérieur de sa cuisse.
Par décence et respect, je ne publierai pas la photo de l'énorme rougeur constatée l'an dernier. Ça, c'est insupportable ...

Bon, aujourd'hui, changement de région, de climat, de rythme de roulage, 250km en long en large et en travers sur l'Aubrac et ... RAS
Je vois déjà les commentaires : Sur l'Aubrac, c'est normal, début juin c'est à peine dégelé, alors le chaud aux mollets, ça risque rien
Non moonsieur ! Il faisait 27°
Je pense que le cumul forte chaleur (35 et plus), + nature des parcours (virages incessants, petites routes) + arsouille + roulage presque toujours en 3ème sont à l'origine du problème.
Les deux seules autres fois c'était lors d'une manif FFMC opération escargot à Toulouse et lors de l'encadrement d'une balade mobylettes, le tout par des températures largement supérieures à 30°.
Donc je ne suis pas surpris que certains ici n'aient jamais eu de soucis de cuisses ou mollets rouges

Pour les cuisses rouges, ça n'a pas été jusqu'à ce stade mais roses, oui !
En mangeant beaucoup de carottes

les assurances en cas d'accidents grave ne couvrent pas les motos décatalysées
c'est n'importe quoi vu que ca en fait pas un rafale non plus
mais bon c'est comme ca

guzzi20 a écrit : 05 juin 2025, 15:24 les assurances en cas d'accidents grave ne couvrent pas les motos décatalysées

La ou les source(s) ?

guzzi20 a écrit : 05 juin 2025, 15:24 les assurances en cas d'accidents grave ne couvrent pas les motos décatalysées
c'est n'importe quoi vu que ca en fait pas un rafale non plus
mais bon c'est comme ca

Affirmation extrêmement étonnante car il faudrait prouver que l'absence de catalyseur est la cause de l'accident ou au minimum un facteur aggravant !

capdefra26 a écrit : 05 juin 2025, 16:57

guzzi20 a écrit : 05 juin 2025, 15:24 les assurances en cas d'accidents grave ne couvrent pas les motos décatalysées
c'est n'importe quoi vu que ca en fait pas un rafale non plus
mais bon c'est comme ca

Affirmation extrêmement étonnante car il faudrait prouver que l'absence de catalyseur est la cause de l'accident ou au minimum un facteur aggravant !

Mes 42 années d'expérience dans le domaine m'autorisent à valider la remarque de Capdefra26

capdefra26 a écrit : 05 juin 2025, 16:57

guzzi20 a écrit : 05 juin 2025, 15:24 les assurances en cas d'accidents grave ne couvrent pas les motos décatalysées
c'est n'importe quoi vu que ca en fait pas un rafale non plus
mais bon c'est comme ca

Affirmation extrêmement étonnante car il faudrait prouver que l'absence de catalyseur est la cause de l'accident ou au minimum un facteur aggravant !

Objection, votre honneur. L'expert de l'assurance ne va rien prouver du tout, il va simplement constater que le véhicule n'est pas conforme à ses spécifications d'origine.
L'assureur utilisera ensuite cette information pour se dédouaner. Après on est d'accord, l'absence de catalyseur n'est certainement pas une cause d'accident.
Même si sur le plan technique tu as raison, ce sera à toi d'engager des poursuites judiciaires contre ton assureur pour faire valoir cet argument, ce qui sera au mieux long et coûteux.

Les assureurs savent très bien que la plupart des gens n'oseront pas aller en justice, par ignorance, par peur, par manque de moyens peu importe, et ils savent très bien en profiter.

@ AlainR: il suffit de signaler à l'assurance que tu vas faire valoir tes droits via une association de consommateurs et, comme par hasard, leur position va immédiatement s'assouplir.
Ils savent très bien quand un combat ne vaut pas la peine d'être mené ...

capdefra26 a écrit : 14 juin 2025, 14:17 @ AlainR: il suffit de signaler à l'assurance que tu vas faire valoir tes droits via une association de consommateurs et, comme par hasard, leur position va immédiatement s'assouplir.
Ils savent très bien quand un combat ne vaut pas la peine d'être mené ...

Ou encore mieux si tu as souscrit l'option "protection juridique" sur ce contrat ou un autre, tu leur signifies vouloir ouvrir un litige.
Histoire vécue, affaire résolue presque immédiatement .

En réponse à Jean-Pierre,
Pour info, je viens de revendre ma Speed Twin 1200 2024 en grande partie à cause des remontées de chaleur insupportables quand le ventilateur se mettait en route très (trop!) souvent.
En comparaison, ma V85 TT Travel de 2024 est bien plus supportable malgré l' absence de refroidissement liquide !
Je précise que les deux motos sont (était pour la Speed Twin) strictement d' origine et non décatalysées ...
Dan

J'ai une Euro 5 de 2021.
J'ai roulé dans le sud, par un canard de plus de 40°, une véritable canicule, sur des routes à virolos, puis, pire encore, dans les embouteillages sur la route de la côte.
Bien entendu, tout le monde à souffert, la moto avec des cliquetis et moi dans mon blouson de cuir.
Oui, effectivement, je pouvais ressentir la chaleur des cylindres et de la marmite, mais à aucun moment, ça ne s'est ne serait-ce qu'approché d'une brûlure.
Juste du chaud désagréable en pleine canicule.

Alors bon, on est tous différents, mais une brûlure, c'est tout de même un ou plusieurs ordres de grandeur au dessus de ce que j'ai pu constater dans des situations de chialeurs dantesques.
Je suggérerais bien de vérifier le niveau d'huile ou tout problème mécanique susceptible d'expliquer un dysfonctionnement ayant abouti à une température capable de brûler un mollet en roulant.

La V85 chauffe, c'est vrai, et en été, c'est pénible, mais de la à occasionner une brûlure ... je suis surpris.

Moi aussi je suis comme JBB, surpris par l'ampleur du phénomène de chauffe car je n'ai jamais approché seulement d'une telle situation