une rapide présentation s'impose, un peu tardive (j'ai déjà posté sur rubrique Centauro) mais la voilà donc. 43 ans, marié, père de famille et heureux de ce choix de vie
Cela fait donc une bonne vingtaine d'année que je roule avec plus ou moins de régularité, enfants, maison à retaper bref, parcours normal presque banal. Début sur un 1100 Bol d'Or, sympa même si après autant d'année je ne m'imagine plus du tout sur ce genre d'engin..
La linéarité et la recherche de sensations moteur m'ont fait la vendre et je me suis dirigé sur un Dominator. Gardé longtemps, même si je suis un peu court (sur pattes hein!...
) la relative légèreté de l'engin fait qu'elle est sympa à conduire, surtout dans mes Alpes d'adoption. Un rêve concrétisé avant achat d'une maison en 1998: achat d'un V10. Après avoir écumé les concess de l'époque avec comme cahier des charges deux ou trois cylindres et après multiples essais: c'est ELLE qui avait retenu mon attention. Retapage de maison, enfants, je m'en suis séparé à contre coeur bien sur et l'année dernière j'ai pu rempilé sur un V10 "oeuf corse"! 
Anthracite cette fois (mon premier gris et bordeaux) 20.000 bornes avec les pots qui vont bien, un KN, diode transil bref, bécane sans soucis.
Depuis ben balade avec des potes en deux ou trois cylindres...
pas par sectarisme mais il semblerait malgré tout qu'on représente une frange à part dans le petit monde de la moto. Les aficionados du quatre en ligne et régime à 12.000 trs sévissent en majorité et la plupart d'entre eux ne comprennent pas bien qu'on prennent du plaisir à composer avec une boite de vitesse parfois rétive, des vibrations pour eux rédhibitoires, que l'ont se contente de moins de cent chevaux bref. Prendre son plaisir ou on le trouve non?
En même temps si il y avait des Guzzi à chaque coin de rue je n'en aurais probablement pas 
Voili voilou dans les grandes lignes.
Tschüss!
