Présentation - feelouz
Publié : 26 juin 2025, 08:02
Bonjour à tousses
Alors donc, présentation.
Permis en poche en 1975, je saute sur ma Jawa 250, achetée pour le prix d'une mob d'occaz et l’aventure en 2 roues commence !
Rapidement, je trouve que la 250 manque de patate : j’ai du mal à suivre mes potes en 125 MZ.
Donc, au bout d'un an, je troque la Jawa 250 mono contre une 350 bicylindre, une ... Jawa Californian, que je finirai par relooker en Café Racer,
je ne sais plus si on disait comme ça à l’époque, et qui me permettra de gratter les Meuz d’au moins 20 bornes de mieux.
Quelques années plus tard, salaire de petits boulots d’été en poche, je me paye une Honda 350 CB pas très fraîche sur la quelle je m’initierai à la mécanique,
les segments étant fondus dans les gorges …
Fort de ses solides connaissances (hum), j’achète un peu plus tard une Triumph Bonneville 650 de 1972.
Enfin c’est, parait-il, ce qu’il y a dans tous ces cartons, elle est censée être complète, on verra bien.
Elle restera la seule moto que j’ai remonté intégralement boulon par boulon,
le peu qui restait monté dans les cartons (vilebrequin dans le bas moteur) devant impérativement être démonté, nettoyé et contrôlé.
Elle restera l’un de mes meilleurs souvenirs avec son couple et sa légèreté, et pourtant j’ai fini par l’échanger, crime de lèse majesté, contre une Honda 750 CB F2, à finir de remonter.
Bah quoi, il faut bien que jeunesse se passe ...
Et puis les années filent, les motos défilent :
Yamaha 650 XS, Kawasaki Z 650, Suzuki 600 DR, Kawasaki ST 1100, Yamaha XS 1100, Kawasaki 1100 Zephyr, Yamaha 750 FZX, Norton Commando 850, Triumph 900 Legend, Triumph 955 ST,
Triumph Bonneville T-100, Triumph 955 Speed Triple, Kawasaki VN 900, j’en oublie probablement, et pour finir, Suzuki 1200 Inazuma et Kawasaki Z 900 RS, que je possède toujours toutes les deux,
je sais, c’est mal.
Tout ça pour arriver à mercredi dernier, ou j'ai pris rdv chez le concess Guzzi de par chez moi pour essayer la nouvelle V7 Sport.
Je me gare devant le bouclard et mes yeux sont soudainement pris en otage par la 850 Classic, béquillée juste à côté.
Vous avez peut être déjà entendu ces histoires de gens qui, dans un refuge SPA, connaissent un coup de foudre réciproque avec un animal, comme si les deux se reconnaissaient instantanément.
Et bin là, pareil.
Je demande si je peux l’essayer aussi, no problem, vu que c’est un modèle de démo et qu’elle est en vente.
15 minutes plus tard, je sais que je ne veux plus la rendre. Son petit tempérament me plait, elle a du caractère sans être caractérielle,
c’est une sacré charmeuse, elle me rappelle mes vieilles anglaises et cette espèce de volupté que dégage une conduite calme sur le couple.
J’essaie donc dans la foulée la nouvelle V7 Sport.
C’est vrai qu’elle pousse plus, cartographie, diagramme de distri, filtre à air et pots nouveaux la font bondir comme un Pitbull, et le double Brembo est un régal de puissance.
Mais à quoi bon descendre d’un missile pour monter sur cette roquette, autant pousse au crime que ma Kawa ? Et puis ce compteur cyclopéen est tellement moche ...
Allez hop, je signe où pour la Classic ?
Je roule en Guzzi comme Coluche faisait du sport : ça peut pas se voir, j'commence demain.
Alors donc, présentation.
Permis en poche en 1975, je saute sur ma Jawa 250, achetée pour le prix d'une mob d'occaz et l’aventure en 2 roues commence !
Rapidement, je trouve que la 250 manque de patate : j’ai du mal à suivre mes potes en 125 MZ.
Donc, au bout d'un an, je troque la Jawa 250 mono contre une 350 bicylindre, une ... Jawa Californian, que je finirai par relooker en Café Racer,
je ne sais plus si on disait comme ça à l’époque, et qui me permettra de gratter les Meuz d’au moins 20 bornes de mieux.
Quelques années plus tard, salaire de petits boulots d’été en poche, je me paye une Honda 350 CB pas très fraîche sur la quelle je m’initierai à la mécanique,
les segments étant fondus dans les gorges …
Fort de ses solides connaissances (hum), j’achète un peu plus tard une Triumph Bonneville 650 de 1972.
Enfin c’est, parait-il, ce qu’il y a dans tous ces cartons, elle est censée être complète, on verra bien.
Elle restera la seule moto que j’ai remonté intégralement boulon par boulon,
le peu qui restait monté dans les cartons (vilebrequin dans le bas moteur) devant impérativement être démonté, nettoyé et contrôlé.
Elle restera l’un de mes meilleurs souvenirs avec son couple et sa légèreté, et pourtant j’ai fini par l’échanger, crime de lèse majesté, contre une Honda 750 CB F2, à finir de remonter.
Bah quoi, il faut bien que jeunesse se passe ...
Et puis les années filent, les motos défilent :
Yamaha 650 XS, Kawasaki Z 650, Suzuki 600 DR, Kawasaki ST 1100, Yamaha XS 1100, Kawasaki 1100 Zephyr, Yamaha 750 FZX, Norton Commando 850, Triumph 900 Legend, Triumph 955 ST,
Triumph Bonneville T-100, Triumph 955 Speed Triple, Kawasaki VN 900, j’en oublie probablement, et pour finir, Suzuki 1200 Inazuma et Kawasaki Z 900 RS, que je possède toujours toutes les deux,
je sais, c’est mal.
Tout ça pour arriver à mercredi dernier, ou j'ai pris rdv chez le concess Guzzi de par chez moi pour essayer la nouvelle V7 Sport.
Je me gare devant le bouclard et mes yeux sont soudainement pris en otage par la 850 Classic, béquillée juste à côté.
Vous avez peut être déjà entendu ces histoires de gens qui, dans un refuge SPA, connaissent un coup de foudre réciproque avec un animal, comme si les deux se reconnaissaient instantanément.
Et bin là, pareil.
Je demande si je peux l’essayer aussi, no problem, vu que c’est un modèle de démo et qu’elle est en vente.
15 minutes plus tard, je sais que je ne veux plus la rendre. Son petit tempérament me plait, elle a du caractère sans être caractérielle,
c’est une sacré charmeuse, elle me rappelle mes vieilles anglaises et cette espèce de volupté que dégage une conduite calme sur le couple.
J’essaie donc dans la foulée la nouvelle V7 Sport.
C’est vrai qu’elle pousse plus, cartographie, diagramme de distri, filtre à air et pots nouveaux la font bondir comme un Pitbull, et le double Brembo est un régal de puissance.
Mais à quoi bon descendre d’un missile pour monter sur cette roquette, autant pousse au crime que ma Kawa ? Et puis ce compteur cyclopéen est tellement moche ...
Allez hop, je signe où pour la Classic ?
Je roule en Guzzi comme Coluche faisait du sport : ça peut pas se voir, j'commence demain.