Présentation - MICHELJOSEPH , Bonjour à tous
Publié : 26 déc. 2019, 14:35
Bonjour à tous!
Je me présente à vous en ce lendemain de Noël.
Je suis heureux de rejoindre ce forum, ce lieu d'échanges et de partages.
Tous nous sommes liés par cette poésie de la Guzzi que j'ai découvert la première fois dans le film de Fellini: la Strada.
Antony Quinn pilotait ce tracteur, allant de ville en ville, forain, troubadour avec derrière, dans la cabane Giulietta Masina.
Depuis, je n'ai jamais cessé de me retourner quand j'entendais le son rauque du vieux V twin, un peu comme un chien de traîneau, tranquille. ça faisait dans la ville comme une apparition.
Du reste, dans Amarcord du même Fellini, c'est ce qui se passe: elle vient, elle va comme une phrase échappée de la grammaire courante.
Le temps est loin maintenant de Fellini et du grand cinéma italien.
La vulgarité laide et efficace pullule dans nos rues. Les femmes en scooter portent des casques. Leurs cheveux ne volent plus au vent, souriantes sur leurs vespas.
Las. Un jour après les jours j'en ai vu une , rouge et noire, à carbus. Elle était née en 94 juste avant sa disparition. Je l'ai adoptée.
Elle m'a fait des caprices de sélecteur et de fuites d'essence, mais ce n'étaient que coquetteries. Nous sommes partis en Corse et nous avons pu éviter les chèvres.
Mais voilà qu'à Paris elle s'ennuie parmi les vélibs et autres trottinettes électriques, japonaises hideuses, harley prétentieuses et scooters débiles.
Elle déprime la Guzzi et nous fait le coup de l'alternateur.
Le poète n'est pas mécanicien. Il ne sait pas le changer. Il demande de l'aide aux vrais compétents.
Comment qu'on fait?
Et si ce n'était que le régulateur?
Vous savez où ça se trouve, comment avec mon voisin on peut se débrouiller.
Où qu'on l'achète pas trop cher, le régulateur , sa référence inconnue au bataillon ?
Merci d'avance!
Bien à vous!
MICHELJOSEPH
Je me présente à vous en ce lendemain de Noël.
Je suis heureux de rejoindre ce forum, ce lieu d'échanges et de partages.
Tous nous sommes liés par cette poésie de la Guzzi que j'ai découvert la première fois dans le film de Fellini: la Strada.
Antony Quinn pilotait ce tracteur, allant de ville en ville, forain, troubadour avec derrière, dans la cabane Giulietta Masina.
Depuis, je n'ai jamais cessé de me retourner quand j'entendais le son rauque du vieux V twin, un peu comme un chien de traîneau, tranquille. ça faisait dans la ville comme une apparition.
Du reste, dans Amarcord du même Fellini, c'est ce qui se passe: elle vient, elle va comme une phrase échappée de la grammaire courante.
Le temps est loin maintenant de Fellini et du grand cinéma italien.
La vulgarité laide et efficace pullule dans nos rues. Les femmes en scooter portent des casques. Leurs cheveux ne volent plus au vent, souriantes sur leurs vespas.
Las. Un jour après les jours j'en ai vu une , rouge et noire, à carbus. Elle était née en 94 juste avant sa disparition. Je l'ai adoptée.
Elle m'a fait des caprices de sélecteur et de fuites d'essence, mais ce n'étaient que coquetteries. Nous sommes partis en Corse et nous avons pu éviter les chèvres.
Mais voilà qu'à Paris elle s'ennuie parmi les vélibs et autres trottinettes électriques, japonaises hideuses, harley prétentieuses et scooters débiles.
Elle déprime la Guzzi et nous fait le coup de l'alternateur.
Le poète n'est pas mécanicien. Il ne sait pas le changer. Il demande de l'aide aux vrais compétents.
Comment qu'on fait?
Et si ce n'était que le régulateur?
Vous savez où ça se trouve, comment avec mon voisin on peut se débrouiller.
Où qu'on l'achète pas trop cher, le régulateur , sa référence inconnue au bataillon ?
Merci d'avance!
Bien à vous!
MICHELJOSEPH